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“Fabulæ” (1990-92).
“56’45 en quatre mouvements : fabula, onoma, nota, sonora. Un rideau imaginaire se lèvera donc sur quatre scènes, chacune titrée d’un simple mot, bref, singulier, ouvert, pretexte à une large interprétation. Peut-on la suggérer ? … fabula, chanterait l’oiseau de la fable, et le vent qui le porte… … onoma, projetterait cinq clichés, scènes de vitromagie naïve… … nota, jouerait du mouvement décomposé de notes surprises en plein vol… … sonora, mêlerait les couleurs, l’espace et les rythmes dans une danse légère et grave à la fois…” François Bayle.