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Anthony Pateras, piano. Jérôme Noetinger, magnétophones à bandes Revox.
À l’origine un concert de trois heures au coucher du soleil à Schloss Solitude, Stuttgart, Allemagne, et une sorte d’hommage à Walter Marchetti, ses natures mortes et ses mises en abîmes. Le piano développe un jeu complexe d’harmoniques qui prennent place dans le temps de la performance. Les bandes accumulent ce signal original, le distordent, l’effacent mais toujours en étroite collaboration musicale. Un jeu d’ombre et de brouillard crépusculaires sans début ni fin !
Anthony Pateras a minutieusement sélectionné et remixé quatre moments de cette performance.