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On a déjà croisé Joe Talia dans ce catalogue, avec James Rushford ou Oren Ambarchi.Ce solo s’inspire de l’œuvre de Jean-Claude Eloy, “Gaku-No-Michi”, considérée comme une lettre d’amour sonore à la ville de Tokyo où habite Joe Talia. Il ne cherche pas à créer un portrait de la ville mais utilise divers enregistrements de terrains (non anecdotiques), de l’électronique et des percussions et autres sources instrumentales pour tisser un monde sonore aéré, flottant dans des ambiances mouvantes avec des glissements harmoniques, des nappes électroniques, des percussions manipulées et étirées, un maelström qui se contruit sournoisement.Une ambiance qu’on imagine collée sur un film tel Blade Runner par exemple.Recommandé !